Intervenue après l’apprentissage des nouvelles techniques agricoles pendant 2 saisons 2020 dans les champs de démonstration et de multiplication des semences, la journée porte ouverte sous le thème « Les fermiers augmentent leurs productions agricoles» a été organisée du jeudi 17 au vendredi 18 Décembre 2020 permettant aux fermiers l’exposition de leurs récoltes notamment le manioc, le maïs, le Niébé et l’arachide.
En effet, cette activité a consisté pour les 4000 fermiers de 160 clubs d’ exhiber aux publics les résultats de leurs travaux, de partager avec eux (bénéficiaires indirects du projet) les expériences acquises sur les notions apprises concernant notamment les nouvelles techniques agricoles (qui incluent respect de calendrier agricole, utilisation des semences améliorées, la préparation de terrain, la non incinération, le semis en ligne, le sarclage à temps, le respect de l’écartement), la nutrition de base et aussi sur l’eau , l’hygiène et l’assainissement.
Au cours de cette activité, les autorités locales, les opérateurs économiques et les membres des communautés environnantes passaient devant les stands pour voir, observer et poser des questions aux fermiers membres des clubs pour en savoir plus par rapport aux variétés des semences améliorées et différentes techniques agricoles apprises et mises en applications pour avoir cette production.
Cette activité s’est déroulée dans 3 sites dont : site LIKPANGBALA pour les 8 villages de l’axe DONGO, site MOBAMBO pour 6 village dans l’axe IMESE et site IMESE pour 3 autres village de l’axe IMESE avec la participation des 4000 fermiers dans ces 17 villages ciblés par le projet.
Notez que ce projet est financé par le Ministère Fédéral d’Allemagne de la Coopération Economique et du Développement (BMZ) à travers l’ONG Sign of Hope
Susciter l’augmentation de la demande et l’utilisation des services de planification familiale (PF), la santé sexuelle et reproductive (SSR) et les violences basées sur le genre (VBG) dans les communautés d’une part et assurer l’offre de services complets intégrés (SSR-SMN-PF-VBG) de qualité et disponibles dans les structures sanitaires partenaires d’autre part, telle est le but visé de la promotion des services de la santé sexuelle reproductive et santé maternelle à Kinshasa.
C’est ainsi que depuis 2010 HPP-Congo s’est investi dans l’amélioration des droits et services en matière de santé sexuelle et reproductive, santé maternelle (Planification familiale) , violences sexuelles adaptées aux adolescentes, jeunes et femmes en âges de procréer dans la ville de Kinshasa, en général et dans les zones de santé de Selembao, Kingabwa, Binza Ozone et Mont-Ngafula2 en particulier.
Nos approches communautaires ont contribué à bannir les barrières sociales, culturelles et économiques à l’accès à la santé maternelle et santé sexuelle reproductive ainsi que les connaissances et les pratiques des adolescentes, jeunes filles et femmes en âges de procréer en matière de la planification familiale, de santé sexuelle et reproductive et de violences sexuelles basées sur le genre. Une offre de soins de qualité appropriée a été organisée dans les structures sanitaires partenaire.
L’accompagnement des bénéficiaires a permis à ce que ces derniers (adolescents, jeunes, femmes et hommes) maitrisent chacun, au moins 3 méthodes contraceptives modernes et sont actifs dans la sensibilisation et la mobilisation communautaire des autres familles pour qu’elles intègrent à leur tour les services de planification familiale. Les connaissances acquises ont permis aux adolescentes, filles et femmes d’éviter les infections sexuellement transmissibles(IST), les grossesses non désirées et précoces.
« Au cours de ces 3 derniers mois de 2020, plus de 400 enfants malnutris comme MASINI ont été pris en charge et guéris de la malnutrition avec les aliments locaux grâce à l’accompagnement de HPP-Congo à travers les centres de Santé de la Zone de santé BOKONZI dans la Province du Sud-Ubangi où est implémenté le projet Clubs de Fermiers Dongo avec les fonds du Ministère Fédéral d’Allemagne de la Coopération Economique et du Développement (BMZ) à travers Sign of Hope ».
« La malnutrition de MASINI » a commencé quand j’ai connu un accident au champ et à ce moment sa mère était enceinte », déclare ALINGO MASINI le père de MASINI. Aucune bonne nourriture n’était disponible pour ma famille du fait que je ne pouvais travailler à cause de mon accident. Toute la famille était privée d’une alimentation équilibrée. Nous, étant les paysans notre seule ressource c’est le champ ou la chasse or impossible de travailler du fait de l’accident.
C’est pendant cette période de calvaire que l’état nutritionnelle de MASINI a commencé à se dégrader jusqu’à un certain moment, il s’affaiblissait de plus en plus. Plus tard, mon fils était dans un état critique avec la présence des œdèmes et il n’avait plus d’appétit. J’étais inquiet de son état, et par manque d’argent pour l’amener à l’hôpital, moi et ma femme allions voir un guérisseur (Marabout) mais nous retournions toujours sans solution.
Pendant ce temps l’Instructeur Agricole de HPP-CONGO sensibilisait le village sur la possibilité de traitement et de prise en charge gratuite de la malnutrition lors du lancement de projet Clubs de Fermiers Dongo. Nous avions pris la balle au bond, pour amener aussitôt MASINI au centre de santé pour le diagnostic. Juste après il a été admis au programme de la nutrition.
Lundi, Mercredi et samedi ont été retenus comme jours de rendez-vous où ma femme amenait l’enfant au centre de santé pour la prise de la bouillie enrichie et participer aux séances de formations organisées par HPP-Congo sur une alimentation saine et équilibrée voire aussi les démonstrations culinaires. Cette bouillie est composée de mélange de maïs, soja, sucre, huile et arachide. La démonstration culinaire a consisté aux recettes suivantes : Sauce de légume feuille enrichie à la pâte d’arachide et sauce de légumes secs (Niébé ou haricot).
Après une semaine de suivi et de prise de la bouillie, l’enfant a commencé à reprendre l’appétit ; un mois plus tard, MASINI avait repris totalement son appétit et il n’y avait plus la présence des œdèmes. Grâce à la sensibilisation de l’instructeur Agricole et de l’infirmier sur la prise en charge gratuite de la malnutrition, la vie de mon enfant a été sauvée. Je remercie HPP-Congo d’avoir mise en place le Projet clubs de fermiers Dongo avec son programme de prise en charge gratuite de la malnutrition par des aliments locaux dans notre secteur de Dongo.
Education is a basic human right, a public good and a prerequisite critical in building responsible citizens. Our organization, Humana People to People for close to 30 years has been and still is training teachers, primarily for public primary schools where they are most needed.
On the occasion of marking the International Education Day 2021, on 24 January, under the theme 'Recover and Revitalize Education for the COVID-19 Generation,' we reiterate our commitment to stand alongside national governments in delivering education to all. We have taken note of the drastic COVID-19 impact has had in disrupting the lives of many people - with education heavily affected.
The impact of the virus and resulting lockdown measures have not been felt equally, however, with children experiencing perhaps the largest disruptions to their day-to-day lives. According to UNESCO 2020, by April of last year, 91% of students, approximately 1.6 billion were out of school, compounding what was already a dire situation. The learning losses that come with children not being in school have the potential to last a lifetime - extending well beyond this lost year.
“To face the challenges of tomorrow, not only do we need massive investment, but an overhaul of educational systems is necessary,” said the UNESCO Director-General Audrey Azoulay.
We have been training primary school teachers who are committed to practice their profession in rural and peri-urban communities in Africa and India since 1993.
Our students at Humana People to People Teacher Training Colleges are training to become responsible for the complex and demanding task of teaching. They are trained to manage and convey the curriculum, know each and every student, engage with parents and colleagues, and adapt teaching to suit students’ needs, school conditions and the community environment.
Our 49 Humana People to People Teacher Training Colleges are training 12 500 primary school teachers each year. More than 5 000 primary school teachers graduate every year in Mozambique, Angola, Malawi, India, Guinea Bissau, Democratic Republic of the Congo and Zambia. Our combined efforts, since 1993 have trained more than 49 000 teachers impacting almost 2 000 000 children with access to education.
The COVID-19 pandemic has been a wake-up call to make education systems more resilient to crisis, and more inclusive, flexible and sustainable. It has shown the capacity of systems to innovate, expanding the frontiers of learning possibilities; the enterprise of teachers to ensure learning continuity; and highlighted the immense value education holds for learners, families and communities.
Our teacher training institutions adapted their training approaches in line with the COVID-19 pandemic emergency. We opted for decongestion of classrooms, migrated to virtual learning as a measure to promote physical distancing, wearing of face masks and hand-sanitising in moments of relaxed lockdown measures by local governments. In Mozambique for example, ADPP Mozambique opted to use radio and television broadcasting in delivering bi-lingual education reaching thousands of early grade primary school children in Maputo and other provinces.
Humana People to People India, one of our members, is collaborating with Rajiv Gandhi Shiksha Mission in Chhattisgarh State in bringing education to students in a safe environment at home and in the village. Through building synergies and decentralising access to education, Humana People to People India use their extensive experience when building capacity of local teachers and volunteers to reach many children disconnected with access to education.
Despite the many micro-level initiatives being pursued in remote communities, there is need to bolster partnerships and actions to carry the shared responsibility in safeguarding education in the wake of COVID-19 attack and other future incidences. We appreciate the noble first steps of the Save Our Future campaign, which has culminated in the UNESCO Global Coalition on Education that has rallied 160 partners since its launch in March 2020. It has brought organisations together to advocate and galvanize support to education. We find it critical for the multi-lateral organisations and the international development partners to support education in the developing countries in:
- Taking every measure to reopen schools safely and inclusively;
- Supporting all teachers as frontline workers and prioritizing their training and professional development;
- Investing in skills development for inclusive recovery;
- Narrowing the digital divide that has prevented one third of the world’s students from accessing education during school closures;
- Protecting if not increasing education budgets; ensuring that stimulus packages support measures to mitigate learning losses and get the most vulnerable back to school; and increasing the volume, effectiveness and predictability of aid to education.
We call upon the international community and the national governments to ensure that learning systems and structures are built back better to reflect the lived experiences of children around the world, particularly in already-struggling fragile and disadvantaged community settings.
Key messages
Education must be re-thought to prepare the coming generation to grapple better with major issues such as the digital revolution and the climate crisis.
91% of students, approximately 1.6 billion were out of school as of April 2020 – UNESCO. The learning losses that come with children not being in school have the potential to last a lifetime.
The COVID-19 pandemic has been a wake-up call to make education systems more resilient to crisis, and more inclusive, flexible and sustainable.
We have observed that the impact of the coronavirus and resulting COVID-19 lockdown measures were not felt equally the world-over. The pandemic has affected the poor’s access to social services more than the endowed.
Education is the keystone of the Sustainable Development Goals set for 2030. If we fail on education, the entire construct of development will fail.
“One of our greatest challenges is to accompany and train teachers for the 21st century. Because education is the foundation of our societies, the teacher has a central place in it,” says Mr Blanquer, Minister of Education, France.
We call upon the international community and the national governments to ensure that learning systems and structures are built back better to reflect the lived experiences of children around the world.
Our students at Humana People to People Teacher Training Colleges are preparing themselves for the complex and demanding task of teaching.
Our 49 Humana People to People Teacher Training Colleges are training 12 500 primary school teachers each year. Proudly, 49 000 graduate teachers has been trained since 1993 to date.
More than 5 000 primary school teachers graduate every year in Mozambique, Angola, Malawi, India, Guinea Bissau, Democratic Republic of the Congo and Zambia.